10 septembre, 2009Le Conseil mondial des syndicats SKF se réunit pour examiner l'impact de la crise financière sur les salariés et la manière dont les syndicats peuvent renforcer leur réseau mondial.
ITALIE: Le Conseil mondial des syndicats SKF a examiné l'impact de la crise financière mondiale sur les travailleurs/euses et les mesures prises par l'entreprise pour en minimiser les effets lors d'une réunion tenue du 2 au 4 septembre à Turin, Italie.
La réunion à laquelle assistaient le Directeur général de SKF, Tom Johnstone, et des syndicats des installations de SKF du monde entier, a pris connaissance de la manière dont la production a chuté de 37 pour cent sur une base mondiale au cours des 14 derniers mois. En raison de la baisse de la demande, 3.800 salariés ont été mis à pied et environ 2.000 autres relèvent de programmes divers. En outre, 18.000 salariés sont soumis à des programmes de réduction du temps de travail sous une forme ou une autre, qui ont pu se faire grâce à des programmes gouvernementaux dans certains pays et des accords avec les syndicats dans d'autres pays.
L'entreprise a annoncé en juin la fermeture de l'usine située à Fontenay, France, et que 380 salariés perdront leur emploi. Le Conseil mondial SKF a exprimé sa solidarité et son soutien à la demande des syndicats français pour que la direction reconsidère la décision.
La principale question examinée par les représentants des pays suivants: Allemagne, Autriche, Brésil, Bulgarie, Chine, Espagne, États-Unis, France, Inde, Italie, Malaisie, Mexique, Pologne, Royaume-Uni, Suède, Ukraine, concernait la manière dont la crise financière avait frappé et pesait sur la situation des filiales nationales. Il y a eu des mises à pied dans la plupart des usines et/ou une réduction de la durée du travail pour pouvoir gérer au mieux la situation des salariés.
Le Conseil mondial a également examiné la manière dont la coopération pourrait être améliorée en renforçant la mise en réseau entre les syndicats SKF grâce à la création d'une base de données assurée par la FIOM et administrée par le réseau.
La réunion à laquelle assistaient le Directeur général de SKF, Tom Johnstone, et des syndicats des installations de SKF du monde entier, a pris connaissance de la manière dont la production a chuté de 37 pour cent sur une base mondiale au cours des 14 derniers mois. En raison de la baisse de la demande, 3.800 salariés ont été mis à pied et environ 2.000 autres relèvent de programmes divers. En outre, 18.000 salariés sont soumis à des programmes de réduction du temps de travail sous une forme ou une autre, qui ont pu se faire grâce à des programmes gouvernementaux dans certains pays et des accords avec les syndicats dans d'autres pays.
L'entreprise a annoncé en juin la fermeture de l'usine située à Fontenay, France, et que 380 salariés perdront leur emploi. Le Conseil mondial SKF a exprimé sa solidarité et son soutien à la demande des syndicats français pour que la direction reconsidère la décision.
La principale question examinée par les représentants des pays suivants: Allemagne, Autriche, Brésil, Bulgarie, Chine, Espagne, États-Unis, France, Inde, Italie, Malaisie, Mexique, Pologne, Royaume-Uni, Suède, Ukraine, concernait la manière dont la crise financière avait frappé et pesait sur la situation des filiales nationales. Il y a eu des mises à pied dans la plupart des usines et/ou une réduction de la durée du travail pour pouvoir gérer au mieux la situation des salariés.
Le Conseil mondial a également examiné la manière dont la coopération pourrait être améliorée en renforçant la mise en réseau entre les syndicats SKF grâce à la création d'une base de données assurée par la FIOM et administrée par le réseau.