12 mars, 2010Foxconn a licencié 75 membres d'une équipe de nuit et menace d'en licencier 300 autres qui avaient protesté pour avoir été retenus et forcés de travailler après minuit le 20 février 2010.
MEXIQUE: Le fabricant de matériel électronique taiwanais Foxconn a licencié 75 salariés la dernière semaine de février 2010 et mis en garde le personnel contre 300 nouvelles pertes d'emploi à la suite d'une protestation des salariés dans l'usine d'assemblage d'ordinateurs à Juarez Santa Teresa, Mexique.
Selon des articles parus dans la presse mexicaine, environ 300 membres d'une équipe de nuit commencèrent à protester contre la demande de la direction de continuer à travailler après minuit, en annulant les services de bus chargés de ramener le personnel à la maison. Un réfectoire et un dortoir réservés au personnel d'encadrement ont subi des dégâts au cours des protestations des salariés qui avaient été retenus contre leur volonté.
En dépit de l'assurance d'une absence de représailles contre les salariés donnée par l'entreprise, celle-ci a licencié tous les membres de l'équipe de nuit, en prétextant qu'on n'avait plus besoin d'eux en raison de la résiliation d'un contrat.
Environ 70 travailleurs ont protesté contre les licenciements devant l'entreprise le 25 février et menacé de faire grève en cas de non-respect des droits des travailleurs/euses.
Selon des articles parus dans la presse mexicaine, environ 300 membres d'une équipe de nuit commencèrent à protester contre la demande de la direction de continuer à travailler après minuit, en annulant les services de bus chargés de ramener le personnel à la maison. Un réfectoire et un dortoir réservés au personnel d'encadrement ont subi des dégâts au cours des protestations des salariés qui avaient été retenus contre leur volonté.
En dépit de l'assurance d'une absence de représailles contre les salariés donnée par l'entreprise, celle-ci a licencié tous les membres de l'équipe de nuit, en prétextant qu'on n'avait plus besoin d'eux en raison de la résiliation d'un contrat.
Environ 70 travailleurs ont protesté contre les licenciements devant l'entreprise le 25 février et menacé de faire grève en cas de non-respect des droits des travailleurs/euses.