15 janvier, 2010La FIOM est déterminée à poursuivre son travail avec ses affiliés sur la question du changement climatique après l'accord fragile et non-contraignant signé l'année dernière à Copenhague.
MONDE: La Fédération internationale des organisations de travailleurs de la métallurgie continuera de mettre en avant la question du changement climatique et d'offrir les possibilités d'un débat avec les affiliés dans ce domaine en 2010, après l'accord fragile et non-contraignant signé l'année dernière à Copenhague.
Dans une déclaration reflétant les résultats des négociations au COP15, Rob Johnston, directeur exécutif de la FIOM sur les politiques industrielles et les STN, écrit qu'un accord même faible est préférable à l'absence d'un accord, et qu'il est maintenant temps de concentrer les efforts des syndicats sur la réalisation d'un accord contraignant au COP16 à Mexico en 2010.
"Le COP16 à Mexico offrira l'occasion intéressante pour les syndicats d'engager un débat sur plusieurs questions importantes touchant aux droits syndicaux dans le cadre de la conférence sur le changement climatique", écrit-il.
"Beaucoup d'obstacles à un accord contraignant proviennent de la crainte des conséquences des émissions sur l'industrie, le commerce, le développement, et finalement sur les emplois. Il est essentiel d'élaborer une politique globale sur les sujets concernant la fracture Nord-Sud. Les questions portant sur les responsabilités des sociétés transnationales, l'éducation, la formation et le développement des compétences sont des domaines naturels d'engagement des syndicats", ajoute-t-il.
La FIOM et la Fédération internationale des syndicats de travailleurs de la chimie, de l'énergie, des mines et des industries diverses (ICEM) poursuivront l'élaboration d'un programme conjoint visant des domaines d'intérêt mutuel. En juin 2010, l'ICEM et la FIOM vont organiser une conférence conjointe à Toronto qui portera sur trois thèmes principaux: l'impact de la crise économique mondiale, la viabilité et le changement climatique, les marchés financiers et la gestion des affaires mondiales.
Les principaux résultats de la conférence seront présentés peu après au G20 ainsi qu'au COP16.
Le texte de la déclaration de Rob Johnston peut être consulté ici.
Dans une déclaration reflétant les résultats des négociations au COP15, Rob Johnston, directeur exécutif de la FIOM sur les politiques industrielles et les STN, écrit qu'un accord même faible est préférable à l'absence d'un accord, et qu'il est maintenant temps de concentrer les efforts des syndicats sur la réalisation d'un accord contraignant au COP16 à Mexico en 2010.
"Le COP16 à Mexico offrira l'occasion intéressante pour les syndicats d'engager un débat sur plusieurs questions importantes touchant aux droits syndicaux dans le cadre de la conférence sur le changement climatique", écrit-il.
"Beaucoup d'obstacles à un accord contraignant proviennent de la crainte des conséquences des émissions sur l'industrie, le commerce, le développement, et finalement sur les emplois. Il est essentiel d'élaborer une politique globale sur les sujets concernant la fracture Nord-Sud. Les questions portant sur les responsabilités des sociétés transnationales, l'éducation, la formation et le développement des compétences sont des domaines naturels d'engagement des syndicats", ajoute-t-il.
La FIOM et la Fédération internationale des syndicats de travailleurs de la chimie, de l'énergie, des mines et des industries diverses (ICEM) poursuivront l'élaboration d'un programme conjoint visant des domaines d'intérêt mutuel. En juin 2010, l'ICEM et la FIOM vont organiser une conférence conjointe à Toronto qui portera sur trois thèmes principaux: l'impact de la crise économique mondiale, la viabilité et le changement climatique, les marchés financiers et la gestion des affaires mondiales.
Les principaux résultats de la conférence seront présentés peu après au G20 ainsi qu'au COP16.
Le texte de la déclaration de Rob Johnston peut être consulté ici.