21 octobre, 2009Après qu'une délégation syndicale s'est vue refuser l'entrée dans l'usine Gerdau Aza, le Comité mondial des travailleurs/euses de Gerdau a protesté devant l'usine et remis une lettre à la direction dans laquelle il désavouait la position de l'entreprise.
CHILI: Des dirigeant(e)s syndicaux/ales représentant les travailleurs/euses de Gerdau en Argentine (UOM), au Brésil (CNTM et CNM), au Canada (USW), en Colombie (UTRAMMICOL), au Chili (CONSTRAMET), aux États-Unis (USW), en Espagne (Comisiones Obreras et UGT) et au Pérou (Sindicato de obreros y de empleados Siderperu), sous la conduite de la FIOM, ont remis une lettre au président de l'entreprise, André Gerdau Johannpeter, à l'entrée de l'usine Gerdau Aza à Santiago, Chili, dans laquelle ils désavouent la décision de l'entreprise de leur refuser l'entrée de l'usine chilienne. La lettre contient également une liste de revendications du Comité mondial des travailleurs/euses de Gerdau.
La protestation a eu lieu après qu'une délégation syndicale venue dans le pays pour assister à une réunion du Comité mondial des travailleurs/euses de Gerdau, s'est vue refuser l'entrée de l'usine Gerdau Aza. Les responsables syndicaux chiliens avaient pris les mesures nécessaires pour préparer la visite de la délégation, mais la direction a refusé de laisser la délégation entrer dans l'usine sans donner aucune raison valable à cette décision.
À la fin de la réunion du Comité mondial, le 15 octobre à 14 heures, le comité s'est rendu à l'usine Gerdau Aza où le Secrétaire général adjoint de la FIOM, Fernando Lopes, a remis au département des ressources humaines une lettre adressée à André Gerdau J. dans laquelle il désavoue le refus de l'entreprise de permettre l'entrée de la délégation dans l'usine.
La lettre demandait également une solution rapide et effective à la grève à Cambridge, Canada, une solution négociée avec le syndicat SINTRAMETAL à Tuta pour le renouvellement de la convention collective, et la réouverture de l'usine Duitama en Colombie.
Comme en d'autres occasions, la lettre demandait également une réunion avec la direction de Gerdau au Brésil pour examiner les points suivants:
La protestation a eu lieu après qu'une délégation syndicale venue dans le pays pour assister à une réunion du Comité mondial des travailleurs/euses de Gerdau, s'est vue refuser l'entrée de l'usine Gerdau Aza. Les responsables syndicaux chiliens avaient pris les mesures nécessaires pour préparer la visite de la délégation, mais la direction a refusé de laisser la délégation entrer dans l'usine sans donner aucune raison valable à cette décision.
À la fin de la réunion du Comité mondial, le 15 octobre à 14 heures, le comité s'est rendu à l'usine Gerdau Aza où le Secrétaire général adjoint de la FIOM, Fernando Lopes, a remis au département des ressources humaines une lettre adressée à André Gerdau J. dans laquelle il désavoue le refus de l'entreprise de permettre l'entrée de la délégation dans l'usine.
La lettre demandait également une solution rapide et effective à la grève à Cambridge, Canada, une solution négociée avec le syndicat SINTRAMETAL à Tuta pour le renouvellement de la convention collective, et la réouverture de l'usine Duitama en Colombie.
Comme en d'autres occasions, la lettre demandait également une réunion avec la direction de Gerdau au Brésil pour examiner les points suivants:
- Reconnaissance par l'entreprise du Comité mondial des travailleurs/euses de Gerdau
- Négociation d'un accord-cadre international
- Mise en place d'un comité mondial conjoint de santé et de sécurité