28 mai, 2010Le 18 mai, la police a perquisitionné au bureau de REPAM à Brest, Biélorussie, et a saisi un ordinateur portable et plusieurs ordinateurs de bureau. Après la perquisition, les scellés ont été apposés. La FIOM demande à ses affiliés d'envoyer des lettres de protestation à l'administration présidentielle et au bureau du procureur général de la république de Biélorussie.
BIÉLORUSSIE: Le 18 mai, le lieutenant de police O.O. Stepanchuk a ouvert le bureau du syndicat biélorusse des travailleurs de l'industrie radio-électronique (REPAM) de la région de Brest, local loué par le syndicat à l'adresse: ul. 17 sentyabrya, Brest.
Durant la perquisition, en plus de documents, divers articles de matériel de bureau, des ordinateurs et un ordinateur portable appartenant au personnel permanent du syndicat et utilisés aux fins du syndicat ont été saisis. Après la perquisition, les scellés ont été apposés.
Le personnel du bureau n'a pas été invité à assister à la perquisition et n'a pas été en mesure de fournir des explications. Le coffre-fort de l'organisation a été ouvert en l'absence du personnel et des documents ont été saisis.
REPAM proteste avec force contre ces actes illicites de la police de Brest et exige le retour au syndicat du matériel saisi.
REPAM a été l'objet à plusieurs reprises de harcèlement de la part des autorités biélorusses. Une plainte a été présentée à l'OIT en 2000 pour un cas d'infraction aux droits syndicaux en Biélorussie. Les représentants de REPAM ont déclaré conserver le droit d'ajouter la perquisition illégale à l'affaire de l'OIT no 2090 concernant un cas d'infraction aux droits syndicaux en Biélorussie.
Ces actes scandaleux des autorités biélorusses ne resteront pas sans réponse. La FIOM demande à ses organisations affiliées d'envoyer des lettres de protestation à l'administration présidentielle et au bureau du procureur général de la république de Biélorussie:
Administration présidentielle: +375 17 2260610 (télécopie)
Bureau du procureur général: +375 17 3285727 (téléphone/télécopie)
Envoyer copie des lettres au bureau régional de la FIOM pour les pays de la CÉI à Moscou: +7(495) 974-16-22 (télécopie).
Durant la perquisition, en plus de documents, divers articles de matériel de bureau, des ordinateurs et un ordinateur portable appartenant au personnel permanent du syndicat et utilisés aux fins du syndicat ont été saisis. Après la perquisition, les scellés ont été apposés.
Le personnel du bureau n'a pas été invité à assister à la perquisition et n'a pas été en mesure de fournir des explications. Le coffre-fort de l'organisation a été ouvert en l'absence du personnel et des documents ont été saisis.
REPAM proteste avec force contre ces actes illicites de la police de Brest et exige le retour au syndicat du matériel saisi.
REPAM a été l'objet à plusieurs reprises de harcèlement de la part des autorités biélorusses. Une plainte a été présentée à l'OIT en 2000 pour un cas d'infraction aux droits syndicaux en Biélorussie. Les représentants de REPAM ont déclaré conserver le droit d'ajouter la perquisition illégale à l'affaire de l'OIT no 2090 concernant un cas d'infraction aux droits syndicaux en Biélorussie.
Ces actes scandaleux des autorités biélorusses ne resteront pas sans réponse. La FIOM demande à ses organisations affiliées d'envoyer des lettres de protestation à l'administration présidentielle et au bureau du procureur général de la république de Biélorussie:
Administration présidentielle: +375 17 2260610 (télécopie)
Bureau du procureur général: +375 17 3285727 (téléphone/télécopie)
Envoyer copie des lettres au bureau régional de la FIOM pour les pays de la CÉI à Moscou: +7(495) 974-16-22 (télécopie).