18 mai, 2010Les métallurgistes argentins viennent de négocier un accord salarial qui comporte une hausse de 15 pour cent du salaire à compter du 1er avril et de 10 pour cent supplémentaires au 1er juillet de cette année.
ARGENTINE: Le syndicat des métallurgistes (Unión Obrera Metalúrgica - UOM) a conclu un accord salarial avec les employeurs dans le secteur de la métallurgie, après plusieurs réunions qui n'avaient pas donné de résultats et une grève nationale de 24 heures.
L'accord prévoit une hausse des salaires en deux temps, une augmentation de 15 pour cent à compter du 1er avril et une autre de 10 pour cent au 1er juillet 2010. L'accord couvre la période allant jusqu'en 31 mars 2001.
L'accord met fin aux négociations de l'année et porte sur une augmentation totale de 25 pour cent. Les employeurs avaient d'abord offert 15 pour cent, mais après plusieurs réunions, leur offre atteignait petit à petit 20 pour cent sous la pression syndicale.
L'UOM insistait pour obtenir une augmentation de 25 pour cent car l'an dernier, les employeurs avaient convenu d'une hausse de 15 pour cent au milieu de la crise, quand l'industrie travaillait seulement à 50 pour cent de sa capacité au deuxième trimestre de l'année. La situation s'est maintenant améliorée et l'industrie travaille à 80 pour cent de sa capacité. C'est pourquoi le syndicat ne voulait pas accepter une augmentation identique à celle de l'an dernier.
L'accord prévoit une hausse des salaires en deux temps, une augmentation de 15 pour cent à compter du 1er avril et une autre de 10 pour cent au 1er juillet 2010. L'accord couvre la période allant jusqu'en 31 mars 2001.
L'accord met fin aux négociations de l'année et porte sur une augmentation totale de 25 pour cent. Les employeurs avaient d'abord offert 15 pour cent, mais après plusieurs réunions, leur offre atteignait petit à petit 20 pour cent sous la pression syndicale.
L'UOM insistait pour obtenir une augmentation de 25 pour cent car l'an dernier, les employeurs avaient convenu d'une hausse de 15 pour cent au milieu de la crise, quand l'industrie travaillait seulement à 50 pour cent de sa capacité au deuxième trimestre de l'année. La situation s'est maintenant améliorée et l'industrie travaille à 80 pour cent de sa capacité. C'est pourquoi le syndicat ne voulait pas accepter une augmentation identique à celle de l'an dernier.