20 juin, 2010Le 4ème Festival du court métrage sur le travail de Genève a présenté des récits de la dure lutte menée par les travailleurs et les travailleuses et par leurs syndicats pour la défense de leurs droits et de leur dignité.
GENÈVE: Le 4ème Festival du court métrage sur le travail a eu lieu à Genève le 15 juin 2010. Dans les 17 courts métrages de la sélection de cette année, syndicats et réalisateurs professionnels ont produit des documentaires comportant des récits sur les travailleurs et les travailleuses et sur leurs syndicats, en passant par les difficultés résultant de la crise financière, le combat contre la cupidité des entreprises et la résistance aux attaques contre la dignité des êtres humains, des travailleurs et des travailleuses.
Marion Hellmann, secrétaire général adjoint de l'Internationale des travailleurs du bâtiment et du bois -- IBB, a ouvert le festival en souhaitant la bienvenue au public. Il a déclaré au sujet du programme de cette année que "ces films présentent des récits souvent ignorés des grands organes de presse, des histoires sur la lutte des travailleurs et des travailleuses pour l'égalité, la mobilisation de la main-d'œuvre contre la cupidité des entreprises et la corruption, la défense de la démocratie par les travailleurs et les travailleuses qui cherchent à obtenir un avenir meilleur pour eux-mêmes et pour la société dans son ensemble".
Les réactions des spectateurs et des spectatrices, le plus souvent des syndicalistes, ont été positives. Jayasri Priyalal du bureau régional de Singapour de la fédération syndicale internationale UNI, a déclaré à propos de sa première visite au Festival du film sur le travail de Genève: "Ce fut une belle expérience, et cela m'a assurément donné beaucoup d'idées sur la façon de montrer de nombreux cas dont nous n'avons jamais entendu parler dans nos pays, et cet endroit est parfait pour les faire connaître".
Kirill Buketov, Union internationale des travailleurs de l'alimentation et de branches connexes, UITA: "C'est fantastique, tant d'efforts, mais cela vaut le coup".
L'événement était organisé cette année avec le soutien des onze fédérations syndicales internationales, de la Confédération syndicale internationale et du Conseil des syndicats mondiaux. À quelques exceptions près, les films projetés avaient un sous-titrage en anglais et en français qui donnait la possibilité de suivre les récits dans les deux langues.
Le programme du festival, ainsi que tous les films, à l'exception du film d'un plus long métrage "Like a Bird in a Cage" (Comme un oiseau en cage), seront bientôt disponibles en ligne sur le site officiel du festival du film sur le travail http://www.labourfilmshorts.org/.
Marion Hellmann, secrétaire général adjoint de l'Internationale des travailleurs du bâtiment et du bois -- IBB, a ouvert le festival en souhaitant la bienvenue au public. Il a déclaré au sujet du programme de cette année que "ces films présentent des récits souvent ignorés des grands organes de presse, des histoires sur la lutte des travailleurs et des travailleuses pour l'égalité, la mobilisation de la main-d'œuvre contre la cupidité des entreprises et la corruption, la défense de la démocratie par les travailleurs et les travailleuses qui cherchent à obtenir un avenir meilleur pour eux-mêmes et pour la société dans son ensemble".
Les réactions des spectateurs et des spectatrices, le plus souvent des syndicalistes, ont été positives. Jayasri Priyalal du bureau régional de Singapour de la fédération syndicale internationale UNI, a déclaré à propos de sa première visite au Festival du film sur le travail de Genève: "Ce fut une belle expérience, et cela m'a assurément donné beaucoup d'idées sur la façon de montrer de nombreux cas dont nous n'avons jamais entendu parler dans nos pays, et cet endroit est parfait pour les faire connaître".
Kirill Buketov, Union internationale des travailleurs de l'alimentation et de branches connexes, UITA: "C'est fantastique, tant d'efforts, mais cela vaut le coup".
L'événement était organisé cette année avec le soutien des onze fédérations syndicales internationales, de la Confédération syndicale internationale et du Conseil des syndicats mondiaux. À quelques exceptions près, les films projetés avaient un sous-titrage en anglais et en français qui donnait la possibilité de suivre les récits dans les deux langues.
Le programme du festival, ainsi que tous les films, à l'exception du film d'un plus long métrage "Like a Bird in a Cage" (Comme un oiseau en cage), seront bientôt disponibles en ligne sur le site officiel du festival du film sur le travail http://www.labourfilmshorts.org/.