20 avril, 2011Dans son dernier numéro, Metal World examine l'importance de la syndicalisation dans différents pays, décrit la réponse des syndicats à la crise mondiale de l'emploi, rend compte de l'importance des réseaux comme moyen d'assurer une situation équitable aux travailleurs et travailleuses, et trace un portrait de Peta Thomson et Stephanie Eastcott, qui parlent de la nécessité d'une meilleure participation des femmes à la vie syndicale.
MONDE: Une nouvelle édition du magazine de la FIOM, Metal World, est publiée aujourd'hui 19 avril 2011. Le magazine peut être consulté et téléchargé sur le site de la FIOM.
Ce numéro contient un article de fond sur la syndicalisation, rend compte des résultats obtenus dans la création de syndicats en Russie, en Inde, en Zambie, en Colombie, en Australie et aux États-Unis, et insiste sur l'intérêt capital d'une syndicalisation efficace pour créer des syndicats puissants capables de réaliser des avancées réelles par la négociation collective, et d'avoir un impact sur les politiques publiques au niveau national.
Alors que l'économie mondiale donne des signes de reprise, le chômage continue d'être un problème majeur pour beaucoup de travailleurs et travailleuses et pour leurs syndicats. Trois syndicats de trois pays défendent les droits des travailleurs et travailleuses dans la crise mondiale, chacun selon ses forces et selon la situation dans chaque pays. Lisez les réponses des syndicats aux conséquences de la crise mondiale sur l'emploi dans l'article de Metal World qui a pour titre 'Unions fight back for secure jobs' (Les syndicats se battent pour sauver les emplois).
L'un des objectifs de la FIOM concerne l'assurance d'une situation équitable pour les travailleurs et travailleuses, bien supérieure aux normes minimums. C'est pourquoi la FIOM insiste sur l'importance accordée à la création de réseaux dans les sociétés transnationales, pour promouvoir la solidarité et la coopération entre les syndicats représentant la main-d'œuvre dans ces entreprises. Consultez le rapport spécial de la FIOM sur les réseaux syndicaux dans les sociétés transnationales.
Le portrait de deux femmes est tracé en dernière page. Il s'agit de Peta Thomson et Stephanie Eastcott, membres engagés et passionnés du syndicat australien des travailleurs (AWU) affilié à la FIOM, qui parlent de l'importance pour les syndicats de prendre des mesures visant à encourager une plus grande participation des femmes à la vie syndicale.