16 juin, 2012Les affiliés de l'ICEM, la FIOM et la FITTHC mènent ensemble une action mondiale de soutien à la campagne que mène l'United Steelworkers (USW) pour mettre Rio Tinto "À bas du podium".
Des dizaines d'affiliés se sont déjà adressés par écrit au représentant de leur pays au Comité international olympique. Maintenant, il faut exprimer tous ensemble notre colère de voir l'image des J.O. de Londres ternie par une entreprise qui ne respecte ni les droits des travailleurs ni l'environnement. Pour cela, votez ici.
Comme nous l'avons révélé, le métal utilisé pour fabriquer les médailles des Jeux de Londres provient de deux mines de Rio Tinto : celle de Kennecott Bingham Canyon, dans l'Utah, aux USA, et la mine d'OyuTolgoï, en Mongolie.
Ce serait une publicité énorme pour le géant minier, mais il serait honteux d'associer Rio Tinto aux grands idéaux de l'olympisme. Cette multinationale affiche un bilan catastrophique en matière de pollution, de droits de l'homme et de santé publique. À cela s'ajoute le lock-out de 780 travailleurs de la fonderie d'aluminium d'Alma, au Québec, qui a scandalisé le mouvement syndical international de voir des travailleurs réprimés pour s'opposer à la tentative de la direction de diminuer les salaires de moitié et d'externaliser les emplois.
Le syndicat de Kennecott, USW Local 392, dont les membres extraient le métal qui servira à fabriquer la majorité des 4.700 médailles, veulent aussi mettre Rio Tinto "À bas du podium" pour ses violations des droits au travail à Alma.
Votez dès maintenant sur le site de la campagne du London Mining Network pour faire en sorte que tout le monde voie que Rio Tinto ne mérite pas d'être associée aux Jeux olympiques.
Comme nous l'avons révélé, le métal utilisé pour fabriquer les médailles des Jeux de Londres provient de deux mines de Rio Tinto : celle de Kennecott Bingham Canyon, dans l'Utah, aux USA, et la mine d'OyuTolgoï, en Mongolie.
Ce serait une publicité énorme pour le géant minier, mais il serait honteux d'associer Rio Tinto aux grands idéaux de l'olympisme. Cette multinationale affiche un bilan catastrophique en matière de pollution, de droits de l'homme et de santé publique. À cela s'ajoute le lock-out de 780 travailleurs de la fonderie d'aluminium d'Alma, au Québec, qui a scandalisé le mouvement syndical international de voir des travailleurs réprimés pour s'opposer à la tentative de la direction de diminuer les salaires de moitié et d'externaliser les emplois.
Le syndicat de Kennecott, USW Local 392, dont les membres extraient le métal qui servira à fabriquer la majorité des 4.700 médailles, veulent aussi mettre Rio Tinto "À bas du podium" pour ses violations des droits au travail à Alma.
Votez dès maintenant sur le site de la campagne du London Mining Network pour faire en sorte que tout le monde voie que Rio Tinto ne mérite pas d'être associée aux Jeux olympiques.